Valérie Gomez-Bassac députée dans la circonscription des cantons Canton de Brignoles, Garéoult, Saint-Cyr-sur-Mer et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume pour La République en marche. Elle est aussi la porte-parole de La République en Marche.
Ce lundi 13 avril le Président de la république, Emmanuel Macron a informé les français du prolongement de la période de confinement jusqu’au 11 mai inclus.
Cette décision de sortie mi-mai du confinement n’a pas été décidée au doigt mouillé : « C’est une date qui a été choisie en fonction des consultations qui a été faite auprès du monde scientifique,…. on espère que l’on aura passé la vague du virus et de ses effets, mais maintenant il faut rester prudent ».
Pour ceux qui pensaient d’une reprise normale dans les écoles, ce ne sera pas pour le 11 mai : « Ca ne va pas reprendre d’un façon globale,… ça se fera dans certaines écoles, dans certaines classes avec des horaires qui ne seront peut-être pas les mêmes dans la même classe. Ce seront des groupes d’enfants et pas toute la classe,.. Le Président de la République a bien dit, que la rentrée se ferait progressivement ».
Le choix de cette rentrée scolaire à minima n’est pas celle uniquement d’Emmanuel Macron : « Ce n’est pas la décision du Président Emmanuel Macron, c’est une décision concertée, qu’il a annoncé parce qu’il est le Président de la République, c’est lui qui tranche au niveau des directions que nous prenons. C’est une décision qui a été fortement demandée par les parlementaires et de la commission « Education et affaires culturelles ».
Et pour les plus optimistes de la sortie du confinement, la députée Varoise est on ne peut plus claire « Bien sûr que la sortie de confinement va être dure, … on sait pertinemment qu’il va falloir payer ces reports de charges,… bien sûr que la vie sera différente,…il va falloir trouver des solutions pour financer toutes ces aides »
Toulon le 14 avril 2020- Coronavirus Var INFO83