Mardi 24 Juin à 19h30
En tant qu’objet regardé, l’interprétation peut être comparée au reflet du miroir. Elle est l’image véhiculée de l’artiste, entre réel et imaginaire. Pour le danseur et le chorégraphe, le miroir – doubaley – est l’outil central de ce travail sur l’image. A travers son prisme, on franchit une frontière entre visible et invisible : créer, c’est passer de l’autre côté ; une fois franchi le pas, plus aucun geste, ni aucun son n’aura le même éclat.
Après une longue coopération avec Seydou Boro, le chorégraphe Salia Sanou se met en scène avec la violoniste Takumi Fukushima, pour associer l’intangible et le concret, le mouvement et le matériau et offrir au spectateur une pléiade de jeux d’images.
Pièce chorégraphique pour un danseur et une musicienne
Chorégraphie et danse : Salia Sanou
Composition, musique vivante et chant : Takumi Fukushima
Scénographie et lumières : Mathieu Lorry-Dupuy
Costumes : Suan Czepczynski
Régie générale : Rémi Combret
Administration de production : Stéphane Maisonneuve
Production compagnie Mouvements perpétuels
Coproduction Le Théâtre-Scène nationale de Narbonne,
Avec le soutien de l’Etablissement Public du Parc et de la Grande Halle de la Villette,
du Centre de développement chorégraphique La Termitière de Ouagadougou
Avec l’aide du ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Languedoc-Roussillon, de la Région Languedoc-Roussillon.