Covid 19 et ses dégâts : Un collectif toulonnais, Liberté 83, se bat contre des décisions iniques du gouvernement
Libertés 83 un collectif d’avocats Toulonnais.
Anne Dunan et Laurent Chouette, sont deux avocats inscrits au barreau de Toulon. Ils représentent Le collectif Libertés 83.
Ce groupement d’avocats défend les familles en cette période de Covid 19, et malgré l’arrêt, qui pourrait n’être que provisoire, du passe vaccinal, Libertés 83 continuent lson combat post-Covid.
Le désastre de la gestion sanitaire
Jean Castex, le Premier ministre du gouvernement Macron a déclaré qu’il mettait fin, dès le 14 mars 2022, au passe vaccinal partout où il s’applique.
D’après Maîtres Anne Dunan et Laurent Chouette le bilan de ces deux années écoulées a été « désastreux, tout le monde a été impacté mais pire encore, les enfants ont été sacrifiés ».
Maître Laurent Chouette s’appuie aussi sur un rapport établi par un collectif féminin « Les mamans Louves » pour étayer son propos : » Elles estiment que les jeunes sont terriblement impactés par cette crise sanitaire ».
D’autant plus que plusieurs études indiquent que le sentiment de solitude et de mal-être a augmenté au sein de la population. Entre les confinements, les couvre-feux, les fermetures des bars et restaurants, des salles de spectacles… l’épidémie de Covid 19 a porté un sérieux coup à la vie sociale de millions de personnes qui peuvent souffrir plus ou moins fortement de cet isolement.
La situation, continue d’être ubuesque, d’après le collectif varois, pour les personnels soignants : « Ils ne sont toujours pas épargnés par la crise sanitaire, malgré la fin du passe vaccinal mi-mars,… eux, ils sont toujours soumis à la loi du 4 août 2021, ils ne dépendent pas du passe vaccinal. Pour cette catégorie de salarié, c’est une loi qui les contraint,… l’obligation légale de vaccination est maintenue, on persiste dans cette erreur ».
Les deux avocats estiment que le vaccin n’a pas permis d’éradiquer la maladie du Covid 19. Ils s’insurgent contre les incohérences des décisions du gouvernement : » Comment justifier de maintenir une obligation lorsque l’on sait que le vaccin ne fonctionne pas et – ils – s’entêtent, plus grave encore, on ne sait pas les effets que ce vaccin aura sur le long terme « .
L’absurdité, d’après Maître Anne Dunan est criarde, elle en veut pour preuve une ordonnance du 1er mars 2022 qui » indiquait qu’il n’y avait pas lieu de suspendre le passe vaccinal, et dès le 3 mars, soit deux jours plus tard, le Premier ministre déclarait qu’à partir du 14 mars on supprimait le passe vaccinal,… C’est la faillite de nos institutions ! »
Demain on doit pouvoir dire non !
Et pour conclure les deux avocats Toulonnais dressent un triste constat de la gestion de cette crise sanitaire : « Le bilan est désastreux pour les libertés publics et pour l’état de droit. L’exécutif a réduit à néant des années de jurisprudences et des années de bonnes pratiques. Tout le monde a été dupé,… Toutes les décisions prises ont été absurdes et incohérentes, il nous faut tirer les leçons de ces deux années passées. Notre liberté c’est notre santé mentale, notre bien être ,… Demain on doit pouvoir dire non ».
Pour en savoir plus sur le rapport des « Mamans Louves » : https://mamanslouves.com/apres-le-covid-19-le-spectre-dune-epidemie-de-suicides-en-france/